Le programme Galileo est en bonne voie selon un article posté dans techno-sciences.com et relayé sur Twitter par la revue Sciences. Destiné à concurrencer le système de localisation par satellite américain GPS, l’équivalent européen Galileo devrait être opérationnel dès 2019. Plus précis et offrant des services multiples, il sera une aubaine pour les sociétés spécialisées dans le suivi de flotte comme Transpoco en augmentant par la même occasion les capacités de gestion pour leurs entreprises clientes.
Toujours selon cet article, les entreprises, grandes ou petites, sont invitées à prendre le train de cette innovation en se maintenant prêts pour les premiers essais prévus en 2014. Il s’agit là d’une échéance bien proche dans un monde technologique qui évolue toujours plus rapidement. Et si les délais sont respectés, les entreprises comme les particuliers vont connaître très rapidement une révolution dans le monde de la géolocalisation.
En effet, le mot "GPS" est ancré dans l’esprit d’une majorité d’utilisateurs des systèmes de navigation. Comme ces marques, pionnières dans leur domaine, qui remplacent la désignation d’objets courants dans notre vocabulaire, GPS en fera sûrement partie.
Il est fort à parier que l’arrivée qu'un élément perturbateur, dans le bon sens du terme, chamboulera une partie de notre quotidien allant de la navigation en voiture à la géolocalisation de nos téléphones portables (voir notre article L’avis des Français sur la géolocalisation). Il n’empêche qu’un choix devra être fait par les entreprises liées à la géolocalisation entre le système actuel en position de monopole et le « petit » nouveau d’ici à la mise en service dans sept ans.
