Les chiffres sont sortis : En 2013, la mortalité routière a baissé de 11% par rapport à 2012 ; soit plus de 400 personnes sauvées.
Baisse de la mortalité routière qui, selon la sécurité routière et l'ONISR (Observatoire National Interministériel de la Sécurité Routière) serait reliée fortement aux mesures prises par la sécurité routière.
En lisant leur bilan annuel et les résultats donnés, nous nous sommes quand même penchés sur certaines statistiques choc que nous avons voulu vous partager par le biais d'une infographie.
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En effet, nous pouvons retenir les chiffres suivants :
- Les accidents routiers mortels sont la première cause de décès chez les jeunes de 18 à 29 ans.
- La mortalité routière passera au 5ème rang mondial des causes de décès d'ici 2030 alors qu'elle en est pour l'instant qu'au 9ème rang.
- Le pic et record d'accidents routiers mortels a été détenu en 1972 avec un total de 18.000 morts dans l'année en France.
- La mortalité routière a été divisée par 2 entre 2000 et 2010
- Un quart des accidents routiers mortels impliquent un conducteur portant le sigle A
- La mortalité routière concerne 25% de femmes et 75% d'hommes responsables de ces accidents
- Les causes principales de la mortalité routière sont pour : 25% la vitesse ; 20% l'alcool ; 10% la fatigue et 4% les substances illicites/stupéfiants.
- 21% des tués ne portaient pas de ceinture de sécurité pour les automobilistes et 6% ne portaient pas de casque sur les scooters et motos.
- La période estivale est la plus mortelle
- Les 18-24 ans représentent 21% des accidents mortels pour seulement 9% de la population
- 14% des personnes tuées le sont dans un accident impliquant un poids lourd
- La moyenne nationale est de 62 personnes tués par million d’habitants
- Chaque année, près de 1,3 million de personnes meurent et 50 millions sont blessés dans des accidents de la circulation dans le monde.
- Les jeunes conducteurs peu expérimentés ont plus de difficultés à répartir leur attention correctement entre la conduite et une tache secondaire.
- Les conducteurs agés ont des capacité visuelles et cognitives amoindries, de telle sorte qu’il leur est plus difficile d’accomplir deux taches en même temps et se traduisant par un temps de réaction plus long lorsqu’ils conduisent.
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