Dans notre dernier article (Voiture sans…conducteur) nous abordions la problématique des systèmes d’aide à la conduite qui permettent d’augmenter la sécurité des passagers. Justement, un article du site JournalAuto.com intitulé « vers une généralisation des systèmes d’aide à la conduite ? ».
Même si ce dernier met en avant l’impact significatif de systèmes, comme le détecteur de collision et le régulateur de vitesse qui induisent une réduction des accidents de la route (-5,7%), il n’oublie pas de rappeler qu’ils ont aussi un impact sur l’environnement grâce à une réduction de 3% pour les voitures et 2% pour les camions de la consommation d’essence. On peut ainsi très bien rajouter l’effet financier positif, que ce soit pour les particuliers ou pour les entreprises qui possèdent leurs propres flottes de véhicules.
En combinant les trois impacts (financier, sécuritaire et environnemental), ces systèmes entrent dans la même catégorie que la géolocalisation : une technologie non abordée dans l’article, mais dont on connaît les résultats encourageants. La raison possible pour laquelle la géolocalisation est d’ailleurs peu citée est qu’elle n’intéresse pas forcément les constructeurs dans la mesure où la technologie est installée une fois le véhicule vendu. Si certains systèmes sont déjà proposés en série par les plus gros constructeurs, il semble que ce soit loin d’être le cas pour la géolocalisation. Pourtant, un système de géolocalisation peut vous permettre de gagner du temps (en gérant au mieux vos déplacements), vous faire économiser du carburant (en choissisant le meilleur itinéraire) et ainsi faire des économies de carburant (et donc d'argent).
Cependant, elle ne fait pas partie de la liste des systèmes d’aide publiée par euroFOT, le consortium créé pour mener l’étude. Reste donc les entreprises comme Transpoco spécialisés dans cette technologie et qui équipent tous les véhicules.
Vous pouvez en savoir plus sur la géolocalisation, son fonctionnement et ses avantages en cliquant ici
